C’est Dieu que j’appelle,
je crie vers lui,
c’est Dieu que j’appelle,
il va m’écouter.
Quand je suis dans le malheur,
je cherche le Seigneur.
Ô Dieu, ton chemin est vraiment bon.
Quel dieu est aussi grand que toi ?
C’est Dieu que j’appelle,
je crie vers lui,
c’est Dieu que j’appelle,
il va m’écouter.
Quand je suis dans le malheur,
je cherche le Seigneur.
Ô Dieu, ton chemin est vraiment bon.
Quel dieu est aussi grand que toi ?
Bartimée était un disciple de Jésus : « Il voit et se met à suivre Jésus sur le chemin. » (Marc 10,52).
Nous pouvons donc nous reconnaître dans sa succession apostolique.
Le cri de Bartimée (Psaume 77)
Évangile selon Marc, chapitre 10, versets 46-52 La guérison de l’aveugle Bartimée – Le texte
Marc 10,46-52 (Mc 10,46-52) – Bartimée, une nouvelle perspective de vie (commentaire)
L’évangile selon Marc (Mc 8-10) – Structure et commentaire : «ecce homo » – « Voici l’homme »
(Prière d’intercession formulée à partir de l’évangile selon Marc, chapitre 10, versets 46-52)
Seigneur, tu nous as aujourd’hui invités à rencontrer Bartimée.
Il t’a appelé, il t’a demandé de l’aide …
Tu l’as entendu, tu lui a répondu, tu l’as sauvé ;
tu l’as sauvé parce qu’il a cru en toi et les forces qui viennent de toi.
Il a retrouvé la vue.
Il est devenu ton compagnon
et il t’a suivi sur ton chemin.
Tu nous proposes de faire la même chose, nous,
de faire comme Bartimée a fait :
de demander de l’aide quand nous en avons besoin
et d’aider ceux et celles qui nous la demandent à nous.
Tu comptes sur nous
et tu nous dis que nous sommes capables de faire ce que tu as fait.
Oui, Seigneur, c’est volontiers que nous voulons te suivre,
comme Bartimée,
et faire du bien là où c’est nécessaire.
Ouvre-nous les yeux,
pour que nous voyions ceux et celles qui ont besoin de nous,
pour que nous voyions quand quelqu’un est triste,
ou malade,
ou isolé, écarté, exclu,
pauvre ou maltraité.
Aide-nous à soulager leurs souffrances,
ici chez nous et ailleurs dans le monde.
C’est possible, parce qu’avec toi, tout est possible.
Merci, Seigneur, c’est bien que tu es là,
aujourd’hui, et demain, et pour toujours.
Amen
Armin Kressmann 2015
Nous le savons, mais nous n’en parlons pas : nous mourrons tous.
Cependant, l’espérance ne meurt pas avec nous.
Le dire et agir en conséquence est résurrection.
Plus simplement :
L’espérance ne meurt jamais.
Et c’est un aveugle qui a rompu le silence.
Donc résurrection, c’est rompre le silence.
Et rompre le silence est voir ce qui est.
« Ta foi t’a sauvé … »
“ Ils arrivent à Jéricho. Comme Jésus sortait de Jéricho avec ses disciples et une assez grande foule, l’aveugle Bartimée, fils de Timée, était assis au bord du chemin en train de mendier. Apprenant que c’était Jésus de Nazareth, il se mit à crier : « Fils de David, Jésus, aie pitié de moi ! » Beaucoup le rabrouaient pour qu’il se taise, mais lui criait de plus belle : « Fils de David, aie pitié de moi ! » Jésus s’arrêta et dit : « Appelez-le. » On appelle l’aveugle, on lui dit : « Confiance, lève-toi, il t’appelle. » Rejetant son manteau, il se leva d’un bond et il vint vers Jésus. S’adressant à lui, Jésus dit : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » L’aveugle lui répondit : « Rabbouni, que je retrouve la vue ! » Jésus dit : « Va, ta foi t’a sauvé. » Aussitôt il retrouva la vue et il suivait Jésus sur le chemin.” (Marc 10,46-52 TOB)
Texte du dimanche 25 octobre 2015, culte à 10h à Rougemont, ouverture du culte de l’enfance